Youth, remembrance and creativity in face of society’s identity crisis - the role of memorial sites in Europe
Collège Pagnol, Perpignan
VICTOIRE
Camélia Yahya Bey, Ekram Hichri,
Sarha Boualaoui
Pour créer cette œuvre, nous avons utilisé : un trophée, des livres, un cadre de télévision, du papier, un bout de ficelle, de la peinture, de la colle et des images. Le message que nous voulons faire passer est que, grâce à ce camp, des personnes de différentes origines se sont rencontrées et elles ont créé des liens d’amitié entre elles, et parfois des liens d’amour. L’intérieur du trophée symbolise les dégâts du passé et l’extérieur symbolise une victoire du présent.
barbeles
Kylian Gonzalez
Pour réaliser mon œuvre, j’ai utilisé une planche en bois poussiéreuse, un câble, du fil, des clous, du papier. J’ai fabriqué de petits bonhommes à partir de fil de fer, des pièces détachées de divers objets, et de la peinture, en particulier les couleurs rouge et blanche. Tout d’abord, j’ai commencé à peindre le câble en gris. Malheureusement la couleur n’adhérait pas, donc j’ai formé des boucles avec mon fil pour qu’il ressemble un peu plus au résultat souhaité, mais cela n’a pas été facile à réaliser. Il m’a fallu beaucoup de temps pour trouver le meilleur moyen. J’ai essayé avec toutes sortes de tailles de clous, mais un seul type de clou convenait, mais ce n’était assez solide pour maintenir les boucles bien attachées sans qu’elles ne puissent bouger.
lame de verre
Taoufik Kouici
J'ai fait l'inventaire des objets dont je disposais pour réaliser mon œuvre, puis j'ai fait les choix suivants : une bouteille de verre, une plaque de bois, de la peinture noire et blanche, une plaque de plexiglas, une bobine de fil, ainsi qu'un cylindre métallique, et des morceaux de pages de livres type dictionnaire ou roman. Le plus dur fut de savoir comment utiliser une bouteille brisée. Lorsque j'ai pu disposer les fragments, j'ai pu continuer mon œuvre.
la vie
Inès Youcef Sebaa, Lola Cayuela Jorda, Assia Mekoui
Nous avons eu l’idée de représenter une sphère qui s’ouvre et se ferme. Nous avons donc décidé que l’extérieur de la sphère allait être consacré à notre histoire personnelle et l’intérieur à celle du camp de Rivesaltes. Nous l’avons construite avec un globe et un livre. Le livre tient la sphère de manière à ce qu’on puisse voir l’intérieur comme l’extérieur. Notre œuvre représente nos origines, l’émotion et surtout une histoire et des souvenirs . Le lien avec le camp de Rivesaltes, ce sont les photos et avec notre histoire c’est le drapeau catalan puis les petits symboles comme la crevette, la caravane et une petite photo de la France.
le chemin
Khalid El Madkouri, Hamza Lisfi,
Stanislav Prebuki
La première idée qu’on a eue était de représenter les réfugiés du camp de Rivesaltes par des maillons d’une chaîne de vélo, mais nous avons abandonné cette idée, tout en conservant la chaîne. La seconde idée qu’on a eue était de mettre deux paniers, un panier décoré avec des fleurs et des fruits artificiels représentant le bonheur, et un second panier dégradé qui représentait le malheur et la guerre.
le tank
Dam Zrouki, Abdel-Arahim Djalout
Pour commencer nous étions seuls, chacun de notre côté. Puis nous avons rassemblé tous les matériaux que l’on avait récoltés, et avons réfléchi ensemble pour faire quelque chose qui ressemble à une automobile et qui ait un lien avec le camp de Rivesaltes. Nous avons trouvé l’idée du « Tank ». Pour travailler, nous avions un petit espace de travail. On voulait construire ce tank en utilisant comme base un aspirateur, mais Adam a trouvé un chariot, et puis nous avons quitté notre petit atelier pour opter pour un espace plus grand. Nous avons commencé par la structure en carton ensuite les armes, l’équipement, la tête du chauffeur, le tableau de bord, la peinture, le moteur sous le capot et de nombreux autres détails.
la maquette du memorial du rivesaltes
Denis Mirochnikov et Gabriel Martinez
Nous avons employé du plâtre, le boîtier d’une cassette, du fil en cuivre, de la peinture, des pions en plastique, et des feutres. Nous avons utilisé la boîte en plastique pour faire la maquette, le plâtre pour faire le sol, le fil en cuivre pour faire des personnages, puis, avec les peintures, nous avons colorié les personnages. Nous avons mélangé les coloris pour montrer le mélange du sang. Les pions en plastique représentent des baraques. Les graffitis ont été faits au feutre.
retour vers le passé
Sabrina Bennaceur
Les matériaux que j’ai utilisés sont nombreux et ne vont pas forcément ensemble au premier abord, mais assemblés, ils forment mon œuvre. J’ai employé les éléments suivants: des photos prédécoupées, de la peinture de couleur rouge et blanche, du vernis pour plancher, un compact disc, une cassette vidéo, une bobine, un globe et un symbole familial, qui pour moi, est un tampon algérien.
trajets brisées
Younes El Khattabi
J’ai utilisé des matériaux que j’ai trouvés : une télévision, une roue arrière de vélo, une hélice de ventilateur, du papier, une pile pour actionner les hélices, de la colle , une balle en papier, 3 plastiques qui représentent les 3 personnages, de la peinture bleue pour montrer la plage, deux photos de la Retirada, du papier jaune pour le soleil.
